Bouaké/ Enseignement technique : le PM Patrick Achi inaugure les nouveaux locaux du CBCG

Bouaké360-Bouaké (Côte d’Ivoire)

Le premier ministre, Patrick Achi, a procédé le samedi 15 janvier 2021 à Bouaké, dans le centre ivoirien, à l’inauguration officielle des nouveaux locaux du Centre de bureautique, de communication et de gestion (CBCG).

Cet établissement de formation professionnelle était d’abord logé dans l’enceinte du lycée technique puis du collège d’enseignement technique (CET) de Bouaké.  

Depuis octobre 2021, l’établissement a retrouvé son nouveau site, sur l’espace de l’ex-lycée français René Descartes au quartier Kennedy, à l’extrême Est de Bouaké. L’école est bâtie sur une superficie de 3 ha, acquis en 2014 auprès du conseil municipal de Bouaké par le ministère de l’enseignement technique, de la formation professionnelle et de l’apprentissage.

Prenant la parole à la cérémonie d’inauguration, le premier ministre Patrick Achi a exhorté à un système de formation professionnelle robuste, innovant et attrayant en Côte d’Ivoire.

« J’encourage le Ministre de l’Enseignement Technique, de la Formation Professionnelle et de l’Apprentissage à poursuivre ses efforts pour réaliser la volonté du Président de la République, Alassane Ouattara, qui consiste à doter notre pays d’un système de formation professionnelle robuste, innovant et attrayant qui répond aux besoins prioritaires du marché de l’emploi et permet l’essor de notre industrie nationale », a déclaré Patrick Achi.

Il a ensuite fait savoir que face aux enjeux d’industrialisation du pays, l’ambition du gouvernement est de faire passer le taux de scolarisation à plus de 15% dans le secteur de l’enseignement technique et de la formation professionnelle.

Pour le Chef du gouvernement, il faut donner à la jeunesse une éducation performante, afin de lui permettre de maîtriser les savoirs fondamentaux, comme ceux digitaux liés à notre époque et de lui donner les meilleures armes pour s’insérer dans la vie active.

Pour l’année scolaire 2021-2022, l’effectif du CBCG Bouaké est de 905 apprenants, dont 609 filles et 296 garçons. Il comporte 22 salles ordinaires, 02 salles informatiques, une bibliothèque de 30 places et un foyer de 200 places. Le coût des travaux est estimé à 565 millions de FCFA, financés par le Fonds Saoudien de Développement.

Etablissement public d’enseignement technique et de formation professionnelle, le CBCG se veut un pôle d’excellence, à savoir une vitrine en matière de formation professionnelle, avec des commodités et des équipements pédagogiques de pointe.

Il prépare aux diplômes de Brevet de Technicien (BT) et de Brevet de Technicien (BTS) en Comptabilité, Comptabilité Commerce, Secrétariat Bureautique, Assistanat de Direction, Finance Comptabilité et Gestion Commerciale.

Cheik Koné avec Sercom Primature

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Inauguration d’une unité d’assemblage de véhicules neufs à Abidjan, c’est « une première en Côte d’Ivoire » (Amadou Koné)

Bouaké360-Abidjan (Côte d’Ivoire)

L’unité d’assemblage de véhicules neufs inaugurée ce lundi 10 janvier 2022 à Abidjan est « une première en Côte d’Ivoire », selon le ministre des transports, Amadou Koné.

« C’est une première en Cote d’Ivoire. Par le passé, notre pays a eu à monter des véhicules, avec l’habillage des pièces importées déjà assemblées. Aujourd’hui, il s’agit d’un assemblage intégral sur place, avec au total 519 éléments différents assemblés. Ce qui nous donne l’autorisation d’inscrire la mention Made in Côte d’Ivoire, avec la licence AJ9 », s’est réjoui le ministre Koné sur sa page officielle facebook.  C’est dire que désormais, a-t-il ajouté, « les numéros de châssis des véhicules construits en Côte d’Ivoire commenceront par AJ9 et comporteront le code indicateur ASO1 ».

Pour lui, la Côte d’Ivoire vient donc de faire ses premiers pas dans le secteur de l’industrie automobile, après l’inauguration de l’usine de la SOTRA INDUSTRIES à Koumassi. Une cérémonie à laquelle il a pris part aux côtés du premier ministre, Patrick Achi, du président du Conseil Economique, Environnemental, Social et Culturel, Dr Aka Aoulé et de plusieurs membres du gouvernement ivoirien.

« Nous avons procédé ce lundi 10 janvier 2022, dans les locaux de SOTRA INDUSTRIES à Koumassi, à l’inauguration de la première unité d’assemblage de véhicules neufs estampillés Made in Côte d’Ivoire et baptisés DAILY IVOIRE. Cette chaine d’assemblage a une capacité de production de départ de 1000 véhicules de 18 à 26 places par an », a-t-il fait savoir avant de remercier le gouvernement et le président de la République Alassane Ouattara qui a fait du secteur des transports une des priorités pour le développement et le rayonnement de la Côte d’Ivoire.

Cette chaîne d’assemblage de véhicules a été lancée en août 2018. « Totalement opérationnelle » aujourd’hui, elle fait de la Côte d’Ivoire avec ce véhicule baptisé « Daily Ivoire », un constructeur automobile

L’usine est le fruit d’un contrat de partenariat entre le constructeur IVECO et SOTRA Industrie, filiale de la SOTRA, la société nationale de transport public urbain. Elle est spécialisée dans le montage de véhicules utilitaires de type minibus communément appelé « Gbaka » ou « Massa ».

La production des premiers véhicules « Made in Côte d’Ivoire » est donc effective avec 60 minibus qui ont été entièrement montés sous la forme CKD (montage intégral).

L’unité de montage d’une capacité de départ de production de 1000 minibus par an est dotée de technologies de dernières générations et permettra la création de 500 emplois directs dans les ateliers de la SOTRA, précise-t-on.

Le minibus Daily Ivoire, qui est de 18 ou 26 places, est configurable en véhicule de transport de personne, en ambulance, en camionnette frigorifique, ou utilitaire de transport de matériels et de marchandises diverses.

Cheik Koné

Les premiers véhicules « Made in Côte d’Ivoire » sortent d’usine

Bouaké360-Abidjan (Côte d’Ivoire)

Le Premier ministre ivoirien, Patrick Achi, a inauguré ce lundi 10 janvier 2022 à Sotra Industries, à Abidjan, l’Unité d’assemblage de véhicules IVECO Daily Ivoire, le constructeur des premiers minibus « Made in Côte d’Ivoire ».

« C’est la première fois que les véhicules produits ici seront estampillés Made in Côte d’Ivoire du fait du haut niveau d’assemblage réalisé sur les chaînes de montage », s’est réjoui le PM Patrick Achi à la cérémonie d’inauguration.

Cette chaîne d’assemblage de véhicules a été lancée en août 2018. « Totalement opérationnelle » aujourd’hui, elle fait de la Côte d’Ivoire avec ce véhicule baptisé « Daily Ivoire », un constructeur automobile

L’usine est le fruit d’un contrat de partenariat entre le constructeur IVECO et SOTRA Industrie, filiale de la SOTRA, la société nationale de transport public urbain. Elle est spécialisée dans le montage de véhicules utilitaires de type minibus communément appelé « Gbaka » ou « Massa ».

La production des premiers véhicules « Made in Côte d’Ivoire » est donc effective avec 60 minibus qui ont été entièrement montés sous la forme CKD (montage intégral).

L’unité de montage d’une capacité de départ de production de 1000 minibus par an est dotée de technologies de dernières générations et permettra la création de 500 emplois directs dans les ateliers de la SOTRA, précise-t-on.

Le minibus Daily Ivoire, qui est de 18 places, est configurable en véhicule de transport de personne, en ambulance, en camionnette frigorifique, ou utilitaire de transport de matériels et de marchandises diverses.

Cheik Koné

Patrick Achi annonce deux jours de gratuité dans les bus de la Sotra à Bouaké

Bouaké360-Bouaké (Côte d’Ivoire)

Le premier ministre ivoirien, Patrick Achi a procédé, ce vendredi 24 septembre 2021, au lancement des activités de la Société des transports abidjanais (Sotra) à Bouaké, en présence de plusieurs membres du gouvernement dont le ministre des transports, Amadou Koné, fils de la région.

Prenant la parole à cette occasion, le chef du gouvernement a annoncé la gratuité du transport pendant deux jours (vendredi et samedi) dans les autobus de cette société de transport urbain pour les usagers de la capitale régionale du Gbêkê.

« J’ai le plaisir de vous annoncer, chères populations, que les bus et les lignes de la Sotra, seront gratuits pendant deux jours, dès cet après-midi (vendredi) et jusque demain samedi soir », a-t-il déclaré, soulignant qu’une telle « révolution » (implantation de la Sotra à Bouaké) ne vaut que si on peut s’en emparer immédiatement, la tester, l’éprouver, la ressentir, et la vivre librement.

Selon Patrick Achi, cette extension des activités de ce transporteur urbain au-delà d’Abidjan, notamment dans la ville de Bouaké, répond à un besoin de transformation de la mobilité et du dynamisme humain de cette ville carrefour.

 « Aujourd’hui, nous célébrons donc cette Côte d’Ivoire nouvelle, voulue par le président Alassane Ouattara. C’est-à-dire une Côte d’Ivoire efficace, réactive, travailleuse, et engagée », a-t-il fait savoir, rappelant qu’il y a seulement un an que le Conseil des ministres donnait quitus à la Sotra pour son déploiement à Bouaké en lui octroyant un terrain pour abriter sa gare centrale.

« Quelle fierté pouvons-nous avoir aujourd’hui de constater qu’à cette rentrée scolaire, la Sotra, comme attendu, comme souhaité, comme espéré, lance ses activités dans la ville de Bouaké afin d’en changer la mobilité et donc d’en changer la vie », s’est réjoui M. Achi.

Pour lui, ce déploiement de la Sotra à Bouaké vient donc changer la vie de près d’un million d’habitants dont les déplacements sont aujourd’hui perturbés par la vétusté et l’insuffisance des moyens de transport existant.

A son tour, le ministre des transports, Amadou Koné a soutenu que Bouaké, la deuxième ville ivoirienne qui compte à peu prés un million d’habitants enregistre environ quatre millions de déplacements tous les jours. Ce qui pose selon lui, un problème en terme de déplacement parce que les moyens qui existent ne permettent pas de transporter plus du tiers de ces personnes, notamment les élèves et étudiants.

 « La ville de Bouaké compte 795 établissements scolaires, soit à eu près 300 000 élèves qui se déplacent tous les jours dans la ville et qui sont transportés dans des conditions difficiles », a indiqué M. Koné, précisant que c’est sur cette base des études faites par la Sotra qu’il a été décidé, l’année dernière par le gouvernement d’étendre les activités de cette société nationale de transport urbain à Bouaké.

« La Sotra ne vient pas à Bouaké pour qu’on dise que la Sotra est à Bouaké, c’est un besoin important pour le déplacement des populations en terme de qualité, de moyens de mobilité dans la ville mais c’est également un besoin en terme de sécurité pour nos populations », a-t-il ajouté.

Le ministre de l’intérieur et de la sécurité, le général Vagondo Diomandé, a poursuivi dans la même lancée. S’adressant aux usagers de la route à Bouaké, plus précisément aux conducteurs de taxi-motos, il les a exhortés à plus de responsabilité sur la voie publique, en mettant fin aux conduites à risque.

« Depuis le mardi 7 septembre 2021, la campagne gouvernementale de lutte contre l’incivisme sur nos routes est rentrée dans sa phase répressive avec une tolérance zéro», a-t-il prévenu.

Pour sa part, le directeur général de la Sotra, Bouaké Méïté, a axé son intervention sur les nouvelles lignes qui viennent de s’ouvrir à Bouaké. A ce sujet, il a fait savoir que 4 lignes sur 8 sont déjà opérationnelles , en attendant la fin des travaux de voirie et d’aménagement en cours sur les quatre autres. Soixante autobus ont été déployés à Bouaké pour cette première phase de lancement, a ajouté M. Meité.

« Nous monterons par la suite en puissance pour desservir à terme, 8 lignes avec 100 autobus avec pour objectif de transporter environ 100 000 passagers par jour à travers la ville de Bouaké », a promis le DG de la Sotra, relevant que ce déploiement permettra entre autres de créer 500 emplois locaux, des emplois directs et indirects sans compter son impact sur les autres secteurs d’activités économiques.                                                                                            

 Il a terminé en invitant les Bouakéens à prendre soin de ce « bébé » qu’est la Sotra en le protégeant de tout acte de vandalisme lors de manifestations violentes, car, a-t-il conclu, « l’exemple de Bouaké doit être une réussite afin de conforter le gouvernement dans la poursuite de sa politique de modernisation du transport urbain dans les villes de l’intérieur ».

Cheik Koné

Patrick Achi attendu vendredi à Bouaké pour le lancement des activités de la SOTRA

Bouaké360-Bouaké (Côte d’Ivoire)

Le premier ministre ivoirien, Patrick Achi est attendu, le vendredi 24 septembre 2021 à Bouaké pour le lancement officiel des activités de la Société des transports abidjanais (SOTRA) dans cette deuxième ville du pays.

L’information a été donnée ce lundi 20 septembre 2021 par le maire de Bouaké, Nicolas Youssouf Djibo, après une séance de travail avec une délégation de la Sotra conduite par son directeur de la division et de la production, Tiémoko Ibrahim Coulibaly.                                                                                

Selon la sous-direction de la communication de la mairie de Bouaké, le PM Patrick Achi devrait effectuer un trajet inaugural en bus, le vendredi, donnant ainsi le top départ officiel de l’histoire de la Sotra à Bouaké.

L’arrivée de cette société nationale de transport urbain est accueillie avec beaucoup d’enthousiasme dans la capitale régionale du Gbêkê, surtout, en cette période de rentrée scolaire. Des élèves, étudiants et parents d’élèves n’avaient pas caché leur joie depuis les premières implantations dans la ville, des panneaux d’arrêt de bus, il y a déjà quelques semaines.

« Je dépense en moyenne 1000 Fcfa en aller et retour par jour entre le campus et mon domicile au quartier Koko en empruntant un taxi ou mototaxi. Ce qui me revient à 5000 Fcfa pour 5 jours de cours. Jugez-en vous-mêmes », avait fait observer, l’étudiant en sciences économiques, Abdoulaye Kouyaté. « C’est donc avec une grande joie que j’attend cette arrivée de la Sotra ici », s’était-il réjoui dans un micro-trottoir réalisé le mois dernier par Bouake360.

Même son de cloche pour Kouakou Konan, parent d’une élève de 5è au lycée Djibo Sounkalo, à l’extrême ouest de Bouaké.                                   

« L’année dernière (année scolaire 2020-2021), j’ai dépensé prés de 20 000 Fcfa par mois en terme de transport pour ma fille, en plus de tous le stress que j’ai enduré tout au long de l’année à cause de l’insécurité routière à laquelle elle était exposée tous les jours. C’est donc un vrai ouf de soulagement pour moi », avait relevé à son tour ce père de famille de 6 enfants.

Si la majeure partie de la population de Bouaké semble attendre avec beaucoup d’impatience ce déploiement effectif de la Sotra, cependant quelques avis divergents se font quand même entendre. Des sceptiques se demandent comment les autobus de la Sotra arriveront à circuler convenablement dans ce tohu-bohu de la circulation à Bouaké, où de nombreux motocyclistes et automobilistes sont souvent indexés pour leur manque de civisme sur la voie publique.

Des grincements de dents se font également entendre du côté des acteurs du transport déjà présents sur le terrain. Si les chauffeurs de taxi ville donnent l’impression de minimiser l’impact que peut avoir cette implantation sur leur recette journalière, ce n’est pas le cas pour les conducteurs de taxi-motos qui n’arrivent pas à cacher leur inquiétude. Ce moyen de transport à deux roues était le plus prisé auprès des élèves et étudiants de Bouaké.

En attendant, l’arrivée du premier ministre ce vendredi, des abris ont été installés depuis samedi dernier sur le trajet des 8 lignes qui desserviront la ville de Bouaké du nord au sud et de l’est à l’ouest en passant par la gare centrale au centre-ville où temporise depuis le week-end une trentaine de bus flambant neuf.

Cheik Koné

Inauguration du guichet emploi de l’université Alassane Ouattara de Bouaké

Bouaké360-Bouaké (Côte d’Ivoire)

Le premier ministre ivoirien Patrick Achi a procédé le samedi 17 juillet 2021 à Bouaké, à l’inauguration du guichet emploi de l’université Alassane Ouattara, en présence des ministres Mamadou Touré (Promotion de la Jeunesse, de l’insertion professionnelle et du Service civique) et Amadou Koné (Transports).

« La politique du gouvernement est de faire en sorte que chaque jeune en Côte d’Ivoire, où qu’il soit ait les mêmes chances d’accéder à une vie décente et à un confort de vie auquel il a droit d’avoir », a fait savoir le PM Patrick Achi, ajoutant que l’objectif visé par ce projet est de permettre à près de 8 millions de jeunes qui vont sortir d’ici 2030 de s’insérer dans la vie professionnelle avec les plus grandes chances de réussir.

Initiés par le gouvernement ivoirien, sous la houlette du président de la République, les guichets emploi ont pour mission d’assurer un bon maillage territorial dans la délivrance des services publics d’emploi et assurer l’égalité d’accès à l’offre de services offerts par l’Agence Emploi Jeunes.

Cette plateforme a pour entre autres objectifs d’accueillir et informer les demandeurs d’emplois sur l’offre de service de l’Agence Emploi Jeunes ,orienter les jeunes sur le Programme Social du Gouvernement  et relayer les activités des initiatives gouvernementales en faveur des jeunes (Fonds d’appui au secteur informel, Couverture maladie universelle, etc.) dans les localités où ils sont installés.

Le guichet emploi de l’université Alassane Ouattara est installé au campus 1 de ladite institution.

Cheik Koné