Gbêkê/ Pacification du milieu scolaire : la PSCPD installe des comités de veille dans des écoles

Bouaké360-Bouaké (Côte d’Ivoire)

La Plateforme de la Société Civile pour la Paix et la Démocratie (PSCPD) a procédé le lundi 24 janvier 2022 au lancement d’un vaste programme d’installation de comités de paix dans plusieurs établissements scolaires de la région du Gbêkê, notamment à Bouaké, Brobo, Beoumi et Djebonoua.

La cérémonie officielle de cette activité s’est déroulée au lycée moderne jeunes filles de Bouaké, en présence du coordinateur général de la PSCPD, Soumaila Doumbia, du secrétaire général de la préfecture de Bouaké, Akoun Kouadjo, et de la 2è adjointe au maire, Mme Korotoum Diomandé. Etaient également présents à cette activité, le Commandant de la brigade routière de la gendarmerie de Bouaké, Karim Traoré et du vice-président du Comité citoyen, Lokoué Traoré.

« Installé par les autorités administratives de la ville qui nous on fait l’honneur de nous accompagner dans cette tâche de pacification du milieu scolaire, ce comité aura pour mission de veiller au bon déroulement de l’année scolaire 2021-2022, lutter contre le phénomène des congés anticipés etc.», a fait savoir le coordinateur général de la PSCPD, Soumaila Doumbia.

Quant au commandant Karim Traoré de la gendarmerie de Bouaké et le doyen Lokoué Traoré, président du comité citoyen, ils ont exhorté les 3000 filles de ce lycée d’excellence à prioriser leurs études, à s’éloigner des vices car elles sont l’avenir du pays.

Notons que la cérémonie s’est déroulée lors du salut aux couleurs, en présence de tout le personnel enseignant et administratif du lycée.

Cette activité s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du Programme Transition et Inclusion Politique, financé par l’Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID, sigle en Anglais) avec l’appui technique du National Démocratic Institute (NDI) Côte d’Ivoire.

Cheik Koné

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Côte d’Ivoire : le Conseil régional du Gbêkê placé sous administration du ministère de l’intérieur

Bouaké360-Bouaké (Côte d’Ivoire)

Le Conseil régional du Gbêkê, dans le centre ivoirien, est désormais placé sous administration directe de l’Etat avec une Commission spéciale présidée par le préfet de Bouaké, a annoncé le mercredi 12 janvier 2022, le porte-parole adjoint du gouvernement ivoirien, Mamadou Touré, à l’issue d’un Conseil des ministres.

Cette commission spéciale, présidée par le préfet, comprend notamment dix membres, indique le décret pris en Conseil, portant mise sous administration directe de l’Etat de Côte d’Ivoire du Conseil régional du Gbêkê. 

M. Touré a rappelé que, compte tenu des dissensions graves au sein des conseillers régionaux du Gbêkê et de l’échec des différentes tentatives de conciliation qui mettent en péril le fonctionnement normal et la gestion du conseil régional du Gbêkê, l’autorité de tutelle avait procédé à la suspension du conseil régional du Gbêkê et à la mise en place d’une délégation spéciale en juillet 2021 pour assurer la continuité des services public.

Le président du Conseil régional de Gbêkê, Mangoua Jacques, a été arrêté dans la nuit du vendredi 27 septembre 2019 puis libéré le mardi 31 mars 2020. Depuis sa sortie de prison, le Conseil régional est en proie à de nombreux conflits internes.

Cheik Koné

Lutte contre la fistule obstétricale : l’UNFPA instruit 200 leaders de jeunes et de femmes à Bouaké

Bouaké360-Bouaké (Côte d’Ivoire)

Le bureau décentralisé du Fonds des Nations- Unies pour la Population (UNFPA) de Bouaké, dans le centre ivoirien, a organisé le mercredi 8 décembre 2021, une campagne de sensibilisation au profit de deux-cents leaders de jeunes et de femmes sur les causes, symptômes et conséquences de la fistule obstétricale.

Après les hommes de médias, les agents de santé et d’autres groupes professionnels, c’était au tour des leaders de jeunes et de femmes de la région de Gbêkê d’être outillés ce mercredi, sur les causes, les symptômes et les conséquences de cette pathologie qualifiée de « maladie de la honte ».

La rencontre qui s’est tenue à l’auberge de la jeunesse de N’Gattakro, a été vivement saluée par la directrice régionale de la promotion de la jeunesse de l’insertion professionnelle et du service civique, Bamba Fatoumata. A l’en croire, cette activité à fort impact social est nécessaire aux différents leaders pour être les relais dans les quartiers et villages. Ce qui contribuera efficacement selon lui à l’éradication de cette maladie avant 2030, comme le souhaite l’UNFPA.

« Cette campagne de sensibilisation à votre endroit vise à améliorer vos connaissances afin que vous puissiez à votre tour, participer à la prévention et à la détection des cas de fistules obstétricales dans vos communautés respectives. C’est une maladie qui peut se guérir. Nous comptons sur votre concours afin d’être des relais au sein de la population », a-t-elle indiqué.  

Présent à cette cérémonie, le secrétaire général de la préfecture de Bouaké, Ankoun Kouadjo, a exhorté les femmes à fréquenter les centres de santé pendant leurs grossesses pour éviter de contracter cette maladie.

La formation a été assurée par le conseiller clinique Association ivoirienne pour le bien-être familial (AIBEF) Bouaké, Zaouli Bi Zaouli. Selon lui, plusieurs causes sont à la base de la fistule.

« Les facteurs favorisant sont les pratiques traditionnelles néfastes (mutilations sexuelles, les mixtures abondantes à boire, l’ocytocique traditionnelle), les grossesses précoces, les mariages précoces, le manque de structures sanitaires, le mauvais suivi du travail, les pressions prolongées de la tête fœtale sur une vessie pleine, les césariennes, le viol, les manœuvres abortive et obstétricale… », a-t- il cité avant de rassurer que cette maladie se guérit, après une intervention chirurgicale qui se fait gracieusement lors des caravanes à intervalles de 4 mois, sur toute l’étendue du territoire. Il n’a pas manqué de revenir sur l’importance pour les femmes enceintes, de faire normalement les consultations prénatales (CPN).

Eliezer Rodemi

Vallée du Bandama/ Dabakala : cohésion et solidarité au centre de la 1è sortie du ministre gouverneur Jean Claude Kouassi

Bouaké360-Bouaké (Côte d’Ivoire)

Le tout nouveau ministre gouverneur de la vallée du Bandama, Jean Claude Kouassi a effectué sa première sortie officielle le samedi 21 aout 2021 à Dabakala, dans le centre-nord ivoirien, où il a appelé les élus locaux et les populations de ce département de la région du Hambol à la cohésion et à la solidarité.

Nommé par décret présidentiel le 18 juin dernier en tant que ministre gouverneur de la vallée du Bandama, qui regroupe les régions de Gbêkê et du Hambol, le ministre-gouverneur Jean Claude Kouassi s’est officiellement présenté à la population de cette partie de son district autonome ce samedi. Cette cérémonie a donc été l’occasion pour lui d’expliquer son rôle et ses missions à la tête de ce nouvel instrument de développement local. C’était dans la cours de la mairie de Dabakala en présence des autorités administratives, politiques, religieuses et coutumières du district. 

Profitant de la lucarne offerte, les élus locaux n’ont pas hésité à exprimer quelques doléances.

« Notre hôpital n’a pas de plateau technique, nous avons des lycées et collèges qui ne répondent plus aux exigences de l’éducation, nous avons un manque d’enseignants et avons besoin de renouveler le niveau de l’éducation nationale », a brossé à sa prise de parole le maire de la commune de Dabakala, Souleymane Ouattara.

Poursuivant, il a fait un tour d’horizon complet sur les problèmes de sa commune notamment le déficit d’eau potable et l’insécurité. A ce sujet, il a mis un accent particulier sur la réhabilitation des locaux de la gendarmerie nationale.

« Créer la richesse dans le département de Dabakala sous toutes ses formes pour permettre à la population de bénéficier de ses durs labeurs parce que Dabakala est une région qui a le plus grand espace rizicole. Il y a beaucoup de choses à faire et nous sommes prêts à travailler avec vous », a-t-il conclu, remerciant le président Alassane Ouattara pour la mise en place de ce puissant instrument de développement.

Dans la même veine, le président du conseil régional du Hambol, Konaté Ibrahim Kalil, a félicité le ministre gouverneur pour sa nomination, demandant expressément à ce dernier d’aider sa région à lutter contre le phénomène de l’orpaillage clandestin en créant des chantiers écoles. Il a également exhorté, le nouveau ministre gouverneur à associer les élus locaux dans les prises de décisions et tenir compte des réalités du terrain.

A son tour, le ministre gouverneur Jean Claude Kouassi est revenu sur le sens de sa toute première visite officielle depuis sa nomination.

« Je suis ici sous l’invitation du maire et de son 4eme adjoint qui ont lancé ici un tournoi de la solidarité et m’ont demandé de le parrainer ce que j’ai accepté », a-t-il fait savoir, ajoutant avoir profité pour sa toute première sortie dans la vallée du Bandama pour rencontrer le préfet, les chefs traditionnels et guides religieux, les élus et les maires d’une partie de son district.

« Nous sommes heureux de rencontrer toutes ces personnes avec lesquelles nous devons entretenir la proximité pour réussir la mission qui nous a été confiée par le chef de l’État », a souligné M. Kouassi avant de parler des missions à lui confiées dans le cadre du fonctionnement de son district autonome.

Selon lui, le district est chargé de contrôler, de coordonner et de réaliser ce qui n’est pas fait au niveau de la commune au niveau de la région.

« Nous sommes face à une règle de subsidiarité, qui veut que ce qu’on sait faire à un niveau on ne le fasse pas à un autre niveau, même dans la rareté nous utilisons l’argent du contribuable qui nous ai confié, nous devons faire ce que nous devons dans le respect des prérogatives et des missions qui ont été confiées à chacun », a expliqué M. Kouassi.

« Nous devons nous mettre ensemble pour mieux coordonner et faire aboutir. Faire en sorte que les projets qui ne sont pas encore réalisés soient bien suivis, réalisés et bien réalisés et que celui qui en bénéficie en dernier ressort soit la population ivoirienne. Nous sommes venus pour prolonger ce que les élus font déjà et faire la part aussi de ce qui n’est pas encore réalisée par les élus. Je crois que la cohésion et la solidarité ne doit pas nous manquer, nous sommes une équipe et nous devons travailler avec cet esprit d’équipe mettons nous ensemble solidairement parce que c’est ainsi que nous allons aider le président Alassane Ouattara à mieux réussir sa mission », a-t-il conclu.

Avec une superficie de 28 530 km2, le district de la vallée du Bandama a pour chef lieu Bouaké et comprend deux régions que sont le Gbêkê et le Hambol. La région de Gbêkê dans le centre ivoirien est composée des départements de Bouaké (chef lieu de région et de district), Béoumi, Botro et Sakassou. Le Hambol, au centre nord comprend 3 départements que sont Katiola (chef lieu de région), Dabakala et Niakaramadougou.

Eliezer Rodemi

Des « Bus école » de la SOTRA en circulation à Bouaké depuis ce mercredi

Bouaké360-Bouaké (Côte d’Ivoire)

Des « Bus école » de la Société des transports abidjanais (SOTRA) étaient visibles ce mercredi 18 aout 2021 sur les grandes artères de Bouaké, matérialisant ainsi la dernière ligne droite avant le déploiement effectif des activités de cette société nationale de transport urbain dans la capitale régionale du Gbêkê.

Selon les responsables de cette régie déjà présente à Abidjan et ses banlieues depuis 1960, la Sotra devrait commencer à Bouaké avec 73 autobus dès la prochaine rentrée scolaire, prévue dans le courant du mois de septembre. Des panneaux d’arrêt de bus ont d’ailleurs été installés depuis plusieurs semaines déjà sur le trajet des 8 lignes qui desserviront la ville du nord au sud et de l’ouest à l’est en passant par le centre-ville.

Ce projet de la Sotra à Bouaké est un vieux rêve qui se réalise pour les habitants de la ville cosmopolite du centre ivoirien. Plusieurs étudiants et parents d’élèves interrogés par Bouake360 ont exprimé leur satisfaction face à cette arrivée imminente des autobus à Bouaké.

« Je dépense en moyenne 1000 Fcfa en aller et retour par jour entre le campus et mon domicile au quartier Koko en empruntant un taxi ou mototaxi. Ce qui me revient à 5000 Fcfa pour 5 jours de cours. Jugez-en vous-mêmes », lance perplexe, l’étudiant en sciences économiques, Abdoulaye Kouyaté. « C’est donc avec une grande joie que j’attend cette arrivée de la Sotra ici », a-t-il ajouté avec un large sourire au coin des lèvres.

Même son de cloche pour Kouakou Konan. Ce parent d’une élève de 5è au lycée Djibo Sounkalo, à l’extrême ouest de Bouaké, dit être le père le plus heureux en ce moment avec la réalisation de ce projet d’autobus à Bouaké. « L’année dernière, j’ai dépensé prés de 20 000 Fcfa par mois en terme de transport pour ma fille, en plus de tous le stress que j’ai enduré tout au long de l’année à cause de l’insécurité routière à laquelle elle était exposée tous les jours. C’est donc un vrai ouf de soulagement pour moi », s’est-il réjoui à son tour.

Cependant, de vives inquiétudes demeurent pour les septiques qui se demandent comment les bus de la Sotra vont arriver à circuler convenablement dans ce tohu-bohu de la circulation à Bouaké, où de nombreux motocyclistes et automobilistes sont souvent indexés pour leur manque de civisme sur la voie publique.

Sur le plan économique, l’inquiétude existe également chez les acteurs du transport déjà en activité sur le terrain. Si les chauffeurs de taxi ville donnent l’impression de minimiser le manque à gagner que cette implantation va entrainer dans leur recette journalière, ce n’est pas le cas pour les taxi-motos qui n’arrivent pas à cacher leur embarras. Ce moyen de transport à deux roues est très prisé par les élèves et étudiants de Bouaké. Le sera-t-il encore à la rentrée des classes prochaines ?

Cheik Koné

Ouverture à Botro de la 3e édition du FICAB

Bouaké360-Bouaké (Côte d’Ivoire)

La 3e édition du Festival international de la culture et des arts de Botro (FICAB) s’est ouverte ce jeudi 12 aout 2021, en présence des autorités administratives, politiques et coutumières du département, composé des sous-préfectures  de Botro, Diabo, Languibonou et Krofoinssou.

Placé sous le parrainage du directeur général du trésor et de la comptabilité publique, Assahoré Konan Jacques, ce festival s’inscrit selon ses organisateurs, dans le cadre de la pérennisation de l’art et la culture ivoirienne dans la région de Gbêkê et plus précisément dans le département de Botro.  

Prenant la parole à la cérémonie d’ouverture, le commissaire général du FICAB, N’Guessan Amani Emmanuel a longuement remercié le parrain avant de situer le cadre de cette 3e édition.

« Je vous prie de bien vouloir dire au parrain notre infinie reconnaissance. Ce festival a été créé pour mettre en valeur notre patrimoine, ce riche patrimoine culturel, gastronomique et environnemental de notre département », a-t-il indiqué.

« Nous ferons en sorte que tous ceux qui étaient morts soient ressuscités. A travers ce festival nous pensons faire de cela notre café cacao », a conclu le commissaire général N’Guessan Amani.

A son tour, le représentant du parrain, Theophile Anoh s’est également réjoui au nom de son mandant, pour cette belle initiative culturelle qui fait la promotion du département de Botro.

« Nous voici ensemble réuni pour célébrer ce qui nous reste. Je partage avec le parrain de cette cérémonie Jacques Konan Assahoré l’idée que la culture précède le développement économique et social parce que si vous ne savez pas d’où vous venez, vous ne saurez pas où vous partez », a-t-il fait remarquer avant de s’adresser aux organisateurs.

« Il faut savoir d’où on vient et les jeunes gens qui ont eu l’initiative d’organiser ce festival sont à encourager pour la simple raison que nous partageons leurs idéales de développement à partir de la promotion de la culture et des arts de notre région » a ajouté M. Anoh, qui est par ailleurs le directeur des affaires administratives et financières de l’inspection générale d’État à la présidence de la république.

Place fut ensuite donnée au secrétaire général de la préfecture de Botro, Zigré Dabré en vue de procéder à l’ouverture officielle du FICAB 2021 qui refermera ses portes ce samedi 14 aout 2021.

Des prestations d’artistes et des visites de stands sont entre autres quelques activités inscrites au menu de cette 3e édition du FICAB.

Eliezer Rodemi

Bouaké : Des séances de tirs de l’Armée prévues du 29 au 30 juin 2021

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Une série de séances de tirs par le 1er Bataillon du Génie s’effectuera à environ 10 kilomètres de Bouaké sur l’axe Bouaké-Diabo du mardi 29 au mercredi 30 juin 2021, indique un communiqué du préfet de région, préfet du département de Bouaké, Tuo Fozié.

Au cours de cette manœuvre militaire, poursuit le texte « des coups de feu seront entendus ».

Par conséquent, rassure le préfet hors grade Tuo Fozié dans la note rendue publique le 25 juin 2021, « toutes les dispositions ont été prises pour ne pas perturber la circulation et les activités ».

Par ailleurs, il invite les populations au calme et à vaquer normalement à leurs occupations lors du déroulement de ces opérations qui se dérouleront sur deux jours.

Cheik Koné

Communiqué PDCI-RDA délégation Botro 3: Languibonou

Le Professeur YAO –KOUAME ALBERT, Délégué Départemental du PDCI de BOTRO3, nommé Délégué intérimaire de la Délégation communale du PDCI-RDA de BOTRO 2, convie mesdames et messieurs les membres des instances du PDCI–RDA à  une rencontre, le mardi 02mars  2021 à 09H ,au domicile du Doyen YEBOUE LAZARRE, sis à NDOUMOUKRO (DIABO).

Bouaké360-Bouaké (Côte d’Ivoire)

Sous le Parrainage de M.YEBOUE LAZARRE Vice-présidence du PDCI-RDA, sous la Présidence du Ministre ALAIN COCAUTHREY, Sénateur élu de Gbêkê, Président du Groupe Parlementaire PDCI-RDA au Sénat, Le Professeur YAO –KOUAME ALBERT, Délégué Départemental du PDCI de BOTRO3, nommé Délégué intérimaire de la Délégation communale du PDCI-RDA de BOTRO 2, convie mesdames et messieurs les membres des instances du PDCI–RDA (Bureau Politique, Conseil des Sages, Inspecteur, grand Conseil), les Secrétaires de  Section, les Présidentes de l’UFPDCI urbaine et rurale, les Présidents de la JPDCI (urbaine, rurale et scolaire)à une rencontre, le mardi 02 mars 2021 à 09H ,  au  domicile du Doyen YEBOUE LAZARRE, sis à NDOUMOUKRO (DIABO), à l’effet d’échanger sur:

1-la vie et l’animation des instances locales du PDCI-RDA dans le ressort territorial de la délégation de BOTRO 2(et, Eventuellement celle de BOTRO) ;

2-la campagne pour les élections législatives ;

3-des questions diverses.

L’importance des enjeux du moment requiert la présence du plus grand nombre.

Le Présent communiqué tient lieu de convocation individuelle.

Le Délégué

Prof. YAO–KOUAME ALBERT

Insertion des jeunes : 44 artisans de Bouaké reçoivent des tricycles

Bouaké360-Bouaké (Côte d’Ivoire)

Des artisans de Bouaké, dans le centre ivoirien ont reçu quarante-quatre tricycles dans le cadre d’un programme national de financement de motos-tricycles-bagages initié par le ministère de l’Artisanat.

La cérémonie de remise s’est déroulée mardi 16 février 2021 à la préfecture de région de Bouaké, en présence du maire de la ville, Nicolas Youssouf Djibo, du secrétaire général de la préfecture, du directeur régional de l’Artisanat et des partenaires techniques et financiers de ce vaste programme du ministère de l’Artisanat.

Les 44 premiers bénéficiaires de ce programme à Bouaké ont reçu chacun les clés d’une moto tricycle plus des accompagnements dont une assurance, des casques, un permis de conduire et divers conseils pour leur permettre de démarrer avec efficacité leur nouvelle vie professionnelle.

Cheik Koné

Législatives 2021 : la candidature de Marcel Diéto réclamée par les populations de Diabo

Côte d’Ivoire-Gbêkê-Diabo-Politique-Législatives 2021-PDCI-RDA

Bouaké360-Diabo (Côte d’Ivoire)

La candidature du président de l’association « Agir pour le Gblo », Marcel Kouamé Diéto, aux élections législatives du 06 mars prochain est réclamée par les populations des localités de Diabo et de Languibonou, particulièrement, les militants du parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI-RDA), qui se sont exprimés à travers une déclaration suivie d’une pétition dont la rédaction de Bouaké360.com, a reçu une copie, le mardi 19 janvier 2021.

« Le président de Agir pour le Gblo est le choix du peuple Gblo et des militants du PDCI-RDA pour défendre les couleurs du parti dans la circonscription électorale Diabo-Languibonou aux élections législatives à venir », a déclaré Germain Gbêkê Kouassi, membre du grand conseil du PDCI-RDA délégation Botro 2 au nom de la population et des militants PDCI-RDA des sous-préfectures de Diabo et de Languibonou.

« Nous savons que le député n’a pas de budget pour le développement de sa circonscription, cependant nous voulons la confier à quelqu’un en qui nous avons confiance, quelqu’un qui nous aime et qui nous  défendra mieux à l’hémicycle car nous avons encore en mémoire l’histoire des Cartes nationales d’identité », a-t-il poursuivi, rappelant à cet effet la générosité légendaire de Dieto Marcel Kouamé qui a toujours fait  face aux difficultés du peuple Gblo, à travers de nombreuses actions dont la subvention des frais de timbres pour l’établissement des CNI et des certificats de nationalité au profit de plus de 1000 personnes.

La réhabilitation des bâtiments de l’école primaire de Télébopkli décoiffés par une tornade en mars 2020, des dons de kits scolaires aux enfants les plus démunis, la construction de 3 salles de classe plus un bureau dans le village de Yomien-kouadiokro, des dons de matériel pour lutter contre la covid-19 ainsi que la réhabilitation partielle de l’hôpital et la réparation de l’ambulance de Diabo, sont entre autres selon M. Gbêkê Kouassi, des réalisations à mettre au profit de ce digne fils du Gblo .

Aussi, a-t-il ajouté, « Diéto a également offert des pots de peinture au lycée municipal Nanan Khissy Beynioua, redonné le sourire à plus de 175 orphelins et enfants issus des familles démunies en organisant un arbre de Noël à Diabo, au cours duquel  180 veuves ont reçu des vivres et des non vivres pour les fêtes de fin d’année ».

Pour le délégué PDCI de Diabo 2, au vu de toutes ces actions susmentionnées, il est évident que Marcel Kouamé Diéto a démontré aux yeux de tous qu’on n’a pas besoin d’être à un poste électif pour apporter une assistance à ses parents.                                                                    

C’est pourquoi, a-t-il conclu, « pour nous plus de doute notre choix s’est porté sur lui parce qu’il partage le peu qu’il a et fera mieux si on lui confie de grandes choses ».

Eliezer Rodemi