Le Président de l’Assemblée nationale ivoirienne, Amadou Soumahoro, est décédé samedi à Abidjan à l’âge de 69 ans.
L’annonce officielle a été faite par le président Alassane Ouattara dans un communiqué.
« J’ai la profonde douleur de vous annoncer le décès ce samedi 07 mai 2022 du président de l’Assemblée nationale, mon jeune frère Amadou Soumahoro », écrit Alassane Ouattara dans le communiqué.
« Je rends hommage à un grand homme d’Etat dont l’engagement et le parcours politique ont marqué notre pays », poursuit le chef de l’Etat ivoirien selon qui « la Côte d’Ivoire perd un valeureux fils, un homme de conviction et de devoir ».
« Je perds un compagnon fidèle, un ami loyal et dévoué », ajoute M. Ouattara, présentant en cette douloureuse circonstance, ses « condoléances les plus émues » à la famille et aux proches du défunt.
Elu Président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire le 7 mars 2019, Amadou Soumahoro a été éloigné de cette institution par la maladie. Son intérim était jusque-là assuré par Adama Bictogo.
Il était le député de la circonscription électorale de Séguéla sous-préfecture, Bobi-Diarabana commune et sous-préfecture.
Dans un communiqué signé du Président de la République Alassane Ouattara, le mercredi 20 avril 2022, le secrétaire général de la Présidence de la République, Abdourahmane Cissé, a annoncé le nouveau gouvernement composé de 32 membres, dont deux nouveaux entrants, contre 41 membres dans le gouvernement précédent.
Les deux nouveaux ministres entrants sont le ministre des Mines, du Pétrole et de l’Energie, Mamadou Sangafowa Coulibaly en remplacement de Thomas Camara et la ministre de la Culture et de la Francophonie, Françoise Remarck en remplacement de Harlette Badou N’guessan Kouamé.
Certains ministres ont changé de ministères, notamment, Laurent Tchagba qui remplace Alain Richard-Donwahi aux Eaux et Forêts.
Ce nouveau gouvernement dirigé par le Premier Ministre Patrick Achi dont la reconduction a eu lieu la veille ne comprend pas de secrétariats d’État ni de ministères délégués.
Le gouvernement précédent qui était composé de 41 membres, avait rendu sa démission le mercredi 13 avril dernier.
La liste des Membres du Gouvernement :
1. Ministre d’État, ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine et de la Diaspora, Madame Kandia Kamissoko Camara
2. Ministre d’Etat, ministre de la Défense Monsieur Téné Birahima Ouattara
3. Ministre d’État, ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Monsieur Kobenan Kouassi Adjoumani
4. Garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, Monsieur Jean Sansan Kambilé
5. Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, général Vagondo Diomandé
6. Ministre du Plan et du Développement, Madame Kaba Nialé
7. Ministre des Mines, du Pétrole et de l’Energie, Monsieur Mamadou Sangafowa Coulibaly
8. Ministre de la Fonction publique, Madame Anne Désirée Ouloto
9. Ministre des Transports, Monsieur Amadou Koné
10. Ministre de l’Economie et des Finances, Monsieur Adama Coulibaly
11. Ministre de la Construction, du Logement et de l’Urbanisme, Monsieur Bruno Nabagné Koné,
12. Ministre du Budget et du Portefeuille de l’État, Monsieur Moussa Sanogo
13. Ministre des Eaux et Forêts, Monsieur Laurent Chagba
14. Ministre de l’Equipement et de l’Entretien routier, Monsieur Amédé Koffi Kouakou
15. Ministre de l’Education nationale et de l’Alphabétisation, Madame Mariatou Koné,
16. Ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME, Monsieur Souleymane Diarrassouba
17. Ministre de la Réconciliation et de la Cohésion nationale, Monsieur Bertin Konan Kouadio
18. Ministre des Sports, Monsieur Paulin Claude Danho
19. Ministre des Ressources animales et halieutiques, Monsieur Sidy Tiémoko Touré
20. Ministre de la Communication et de l’Economie numérique, Porte-parole du gouvernement, Monsieur Amadou Coulibaly
21. Ministre de la Promotion de la Jeunesse, de l’Insertion professionnelle et du Service civique, Porte-parole adjoint du gouvernement, Monsieur Mamadou Touré
22. Ministre du Tourisme, Monsieur Siandou Fofana
23. Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Monsieur Adama Diawara
24. Ministre de la Santé, de l’Hygiène publique et de la Couverture Maladie universelle, Monsieur Pierre Dimba
25. Ministre de l’Hydraulique, de l’Assainissement et de la Salubrité, Monsieur Bouaké Fofana
26. Ministre de la Promotion de la bonne Gouvernance et de la Lutte contre la Corruption, Monsieur Épiphane Zoro Ballo
27. Ministre de la Solidarité et de la Lutte contre la Pauvreté, Madame Myss Belmonde Dogo
28. Ministre de l’Emploi et de la Protection sociale, Monsieur Adama Kamara
29. Ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Madame Nasseneba Touré
30. Ministre de l’Enseignement technique, de la Formation professionnelle et de l’Apprentissage, Monsieur Koffi N’Guessan
31. Ministre de la Culture et de la Francophonie, Madame Françoise Remarck
32. Ministre de l’Environnement et du Développement durable, Monsieur Jean-Luc Assi
L’actuel gouverneur de la Banque centrale Etats de l’Afrique (BCEAO), Tiémoko Meyliet Koné, natif de Bouaké, la deuxième ville ivoirienne, a été nommé ce mardi 19 avril 2022, vice-président de la République par le président Alassane Ouattara.
Le président ivoirien a fait cette annonce devant le Parlement réuni en congrès ce mardi à la Fondation Félix Houphouët-Boigny de Yamoussoukro, dans la capitale politique du pays. Le poste de vice-président de Côte d’Ivoire a été créé par la Constitution de novembre 2016. Il fait de son occupant, le dauphin constitutionnel du président de la République.
Tiémoko Meyliet Koné remplace à la vice-présidence l’ancien Premier ministre Daniel Kablan Duncan. Ce dernier avait démissionné du poste en juillet 2021 quelques jours seulement après le décès de l’ancien Premier ministre ivoirien Amadou Gon Coulibaly.
Le nouveau vice-président de la République de Côte d’Ivoire, Tiémoko Meyliet Koné est un natif de la ville de Bouaké, informe Moumoune Coulibaly, le coordonnateur général de la Fondation « les mémoires de la ville de Bouaké », dans un article publié sur les réseaux sociaux. « Fils de cheminot de la RAN, sa famille réside encore aujourd’hui à Bouaké, au quartier Dar es salam, derrière l’ex – CAFOP 3 de Bouaké », ajoute M. Coulibaly sur la page officielle facebook de sa fondation.
M. Koné a servi à la BCEAO à divers postes, dans les Agences de Bouaké, de Daloa, d’Abidjan (Direction Nationale) et de Dakar (Siège). Il a ensuite été nommé Directeur de Cabinet du Premier Ministre en 2007, Ministre de la Construction, de l’Urbanisme et de l’Habitat en 2010 et Conseiller du Président de la République chargé des Affaires Économiques et Financières, jusqu’à sa nomination au Poste de Gouverneur de la BCEAO en 2011.
« Enfin, M. Koné Tiémoko Meylet rendait visite régulièrement à sa famille à Bouaké, jusqu’au décès de ses parents et de son frère aîné, qui était lui aussi un cheminot de la RAN à la retraite », conclut le document de la Fondation « les mémoires de la ville de Bouaké ».
Bouaké360-Côte d’Ivoire/ Interview : actualité nationale
En tournée à travers la Côte d’Ivoire pour parler de paix, Kouassi Ferdinand dit Watchard Kedjebo, secrétaire général du Congrès pour la consolidation de la paix et du développement (Concorde) et cadre du Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP, coalition au pouvoir) a marqué un arrêt le vendredi 18 février 2022.
Dans cette interview accordée à Bouake360, il fait un tour d’horizon sur l’actualité sociopolitique de la Côte d’Ivoire et dresse le bilan à mi-parcours de sa tournée après avoir sillonné plusieurs villes du pays. Il en a profité pour appeler les leaders politiques à saisir la main tendue du président Ouattara, qui est selon lui, « une chance » pour la Côte d’Ivoire.
Watchard Kedjebo au centre de la photo
Bouaké360 : Vous avez initié récemment une tournée pour la réconciliation et la paix dans le pays profond. Qu’est-ce qui a motivé cette campagne ?
Watchard Kedjebo: Cette tournée que nous avons intitulée « caravane de la paix, de la cohésion et du développement » est le fruit d’une réflexion sur les actions du chef de l’Etat SEM Alassane Ouattara depuis son accession à la magistrature suprême. Vous constatez avec moi que notre pays a repris sa place dans le concert des grandes nations. Les investisseurs frappent chaque jour à nos portes parce que notre pays inspire confiance. Nous avons retrouvé la paix qui nous caractérisait sous l’ère du père fondateur. Le président Ouattara a créé un climat de paix condition sine qua non à tout développement. Notre pays est en chantier. Du nord au sud en passant par l’ouest, l’est et le centre, les infrastructures sont visibles et palpables. Le constat fait, nous avons décidé de prendre notre bâton de pèlerin pour sillonner le pays à l’effet de sensibiliser nos parents sur la nécessité de maintenir le climat de paix. Seule la paix peut nous apporter le développement. Nous avons décidé de sensibiliser nos populations sur la culture de la paix, les amener à tourner le dos à la belligérance, à désarmer leurs cœurs et à prendre leur place dans le train du développement.
Quel bilan faites-vous après la campagne ?
Watchard Kedjebo:
La Caravane de la paix, de la cohésion et du développement est toujours en cours. Mais à mi-parcours nous pouvons dire que notre message rencontre des oreilles attentives. Du Guémon à la Marahoué nous avons été accueillis par des populations sensibles à notre message. Nos chefs traditionnels et des responsables communautaires nous ont encouragé et ont pris l’engagement de relayer notre message de paix auprès des membres de leurs communautés. Tout récemment, des cadres Wê en phase avec notre vision ont décidé d’adhérer au RHDP via Concorde. Nous recevons chaque jour des messages de félicitations et d’encouragements des quatre coins du pays. Les populations nous montrent qu’elles ont soif de la paix, elles attendent de nouveaux messages, les messages de la paix et de l’espoir. Nous pouvons donc dire sans gros risque de nous tromper que le bilan à mi-parcours est satisfaisant et nous conforte à poursuivre nos actions en notre qualité de messagers de la paix.
Le gouvernement a repris le dialogue politique avec l’opposition. Quel est votre avis sur ce dialogue. Pensez- vous qu’il va aboutir, étant membre de ce dialogue ?
Watchard Kedjebo:
Le dialogue politique entre la majorité présidentielle et l’opposition est une très bonne chose. Elle traduit la volonté et l’état d’esprit du chef de l’État à aller à la réconciliation. Ce dialogue n’est donc pas une nouvelle trouvaille du gouvernement. Il est initié depuis le temps du 1er ministre Ahoussou Jeannot et poursuivit par ses différents successeurs. C’est donc dire que le chef de l’État en fait une priorité. Lui, le digne successeur du président Houphouët sait l’importance du dialogue. Il sait que c’est par le dialogue que nous pouvons trouver des solutions à nos incompréhensions. Mon souhait est que ce énième dialogue aboutisse. Nous devons prioriser l’intérêt supérieur de notre pays, nous devons définitivement fermer la parenthèse des crises. Nous acteurs politiques avons l’obligation d’offrir la paix, la réconciliation à nos populations. Nous devons quitter les calculs politiciens pour penser à ce que nous devons offrir en héritage à nos enfants et aux futures générations. Je souhaite que le dialogue politique aboutisse et que nous puissions nous entendre sur l’essentiel à savoir que ce qui nous unis doit toujours être plus fort que ce qui pourrait nous diviser.
Quel regard critique portez-vous sur l’opposition ivoirienne dans son ensemble ?
Watchard Kedjebo:
L’opposition ivoirienne est à la croisée des chemins. Elle se cherche, elle n’a pas une offre politique face à la machine RHDP qui mène des actions concrètes sur le terrain. Nous avons une opposition déchiquetée par des problèmes de positionnement et des egos à gérer. C’est une opposition déconnectée des réalités du monde actuel et qui a du mal à poser les vrais problèmes de nos compatriotes. L’opposition ivoirienne actuelle ne peut pas conduire notre pays à un lendemain radieux et certain. Nous n’avons pas une opposition constructive.
Vous étiez dans l’AFD présidé par Affi N’Guessan, avant de rejoindre le RHDP à travers Concorde votre parti. Peut-on savoir aujourd’hui le niveau de vos rapports avec le FPI et particulièrement avec Affi N’Guessan?
Watchard Kedjebo:
Sur le plan humain il n’y a aucune animosité entre nous et le 1er ministre Pascal Affi N’Guessan qui est un aîné pour qui nous avons beaucoup de respect et de considération et dont nous saluons l’esprit de compromis et d’ouverture. Sur le plan politique, il est dans l’opposition et nous sommes dans la majorité présidentielle chacun jouant pleinement le rôle qui est le sien.
Que pensez-vous de l’avenir du FPI avec Affi N’Guessan après le départ de Laurent Gbagbo ?
Watchard Kedjebo:
Tout comme vous, nous avons appris que ses anciens camarades de parti lui ont laissé une enveloppe sans contenu, une enveloppe vide. Le temps pourra nous situer. Ce que nous pouvons dire au passage, c’est que la légalité a triomphé sur le désordre. Affi le président légal du FPI n’a pas cédé au chantage de ses ex-camarades qui voulaient le voir partir du FPI comme l’a fait Mamadou Koulibaly en son temps. Avec l’expérience qu’il a, nous pensons qu’il saura donner un nouveau souffle au FPI. Le dernier congrès organisé par le FPI avec la forte mobilisation que nous avons pu voir nous montre clairement que l’enveloppe n’est pas vide et qu’il y a beaucoup de militants qui continuent de croire en Affi N’Guessan. A lui maintenant de faire mentir ses ex-camarades.
Comment va Concorde au sein du RHDP ? Est-il bien ancré sur le terrain ?
Watchard Kedjebo:
Le Congrès pour la consolidation de la paix et du développement (Concorde) sous la conduite éclairée de son président le ministre Alcide Djédjé est membre à part entière du RHDP-unifié et se sent bien dans la famille des Houphouëtistes. Nous sommes en mission sur le territoire national pour porter et vulgariser la vision du chef de l’État auprès de nos populations. Nous avons l’entière confiance du chef de l’Etat et travaillons en bonne intelligence avec les autres membres de la coalition pour faire face aux défis et apporter le bien être à nos populations. Sur le terrain, nos structures de bases continuent leur travail en tenant compte des orientations de notre référent politique SEM Alassane Ouattara.
Quel message adressez-vous aux ivoiriens ?
Watchard Kedjebo:
Je lance un message de paix et de rassemblement autour de la mère patrie. Désarmons nos cœurs, quittons la belligérance et le radicalisme qui nous conduisent vers des lendemains incertains. Travaillons chaque jour pour une Côte d’Ivoire une et indivisible, une Côte d’Ivoire rassemblée. Saisissons la main tendue du président Ouattara qui est une chance pour notre pays. Que chacun s’approprie sa vision de la Côte d’Ivoire solidaire en prenant la place qui est la sienne. Gardons avec jalousie notre climat de paix. C’est l’héritage à nous légué par le père fondateur.
Les colonels majors Cherif Ousmane et Touré Hervé Armand Pélikan dit Vetcho ont été promus généraux de brigade, le mercredi 22 décembre 2021 par le président de la République Alassane Ouattara à la suite de la signature de plusieurs décrets portant promotions et nominations au sein des Forces Armées de Côte d’Ivoire, de la Police Nationale, des Eaux et Forêts et de la Direction Générale des Douanes.
Le général de brigade Cherif Ousmane est nommé sous-chef d’Etat-major de l’Armée de Terre. Quant au général de brigade Touré Hervé, il devient le chef de la Division Relations Internationales de l’Etat-major Général des Armées.
La liste complète des promotions et nominations
A/ AU TITRE DES FORCES ARMÉES DE CÔTE D’IVOIRE
I. Promotion au grade de Général de Division Sont promus au grade de Général de Division, les cinq (5) Généraux de Brigade dont les noms suivent :
1. Le Général de Brigade ABE SEKA Arsène, Inspecteur de la Gendarmerie Nationale ;
2. Le Général de Brigade DEM Ali Justin, Chef d’Etat-major de l’Armée de Terre ;
3. Le Général de Brigade KOFFI N’guessan Alfred, Chef d’Etat-major de l’Armée de l’Air ; 4. Le Général de Brigade KOUASSI Kauman René Stanislas, Commandant Supérieur en Second de la Gendarmerie Nationale ;
5. Le Général de Brigade N’GUESSAN Kouamé Célestin, Chef d’Etat-major de la Marine Nationale.
II. Promotion au grade de Général de Brigade Sont promus au grade de Général de Brigade, les treize (13) Colonels-majors dont les noms suivent :
1. AMARA Koné, Chef d’Etat-major Adjoint de la Marine Nationale ;
2. AYEMOU Sénindja Roger, Commandant de la Gendarmerie Mobile par Intérim ;
3. BASSANTE Badara Aly, Commandant des Unités Spécialisées ;
4. CHERIF Ousmane, Sous-Chef d’Etat-major de l’Armée de Terre ;
5. DIARRASSOUBA Bakary, Chef d’Etat-major Particulier du Président de la République ;
6. IBRAHIMA Gon Coulibaly, Commandant du Groupe de Sécurité de la Présidence de la République ;
7. KOUAKOU Koffi René, Attaché de Défense en Israël ;
8. KOUAME Joseph Allah, Directeur de l’Académie Internationale de Lutte Contre le Terrorisme ;
9. OUATTARA Zoumana, Commandant de la Zone Opérationnelle Nord ;
10. SAKHO Issa, Commandant du Groupement des Sapeurs-Pompiers-Militaires ;
11. TOURE Hervé Armand Pélikan, Chef de Division Relations Internationales de l’Etat-major Général des Armées ;
12. TOURE Sori, Directeur de Cabinet Adjoint du Ministre d’Etat, Ministre de la Défense ; 13. YEO Ousmane Né Soro, Commandant de la Gendarmerie Territoriale.
III. Promotion au grade de Colonel-major Sont promus au grade de Colonel-major les trente-deux (32) colonels dont les noms suivent :
1. BERNABET Kirouin ;
2. BOADI Assoumou Julien ;
3. BROU Kouamé Raoul ;
4. CAMARA Kinanya Alain ;
5. DOSSO Ibrahima ;
6. DOUTY Gbangbe Désiré ;
7. FADIGA Alassane ;
8. FOFANA Losseny ;
9. FOFIE Kouakou Martin ;
10. GAMBY Sakho Boubacar ;
11. GOUE Léopold Magloire ;
12. GUEI Florent ;
13. KOFFY Franck Hervé ;
14. KONE Gaoussou ;
15. KONE Sounan ;
16. KONE Zakaria ;
17. KOUAKOUMIN Amangoua ;
18. MAMBO Kouao Hervé ;
19. MOUHO Jean Christophe ;
20. NANGA Légré Jérôme ;
21. N’ZUE Kouakou Germain ;
22. OLLOE Antoine ;
23. OKA Olivier ;
24. OUATTARA Morou ;
25. SOULAMA Bakary ;
26. TCHOUME Hervé ;
27. TIBE BI Lopoua Toussaint ;
28. TRAORE Dramane ;
29. WOUEDJA Bléoué Noël ;
30. YAKE Zingbé Charles Diomandé ;
31. YAO Monsan Michel ;
32. YEMAN Sran Achille.
B/ AU TITRE DE LA POLICE NATIONALE
I. Promotion au grade d’Inspecteur Général de Police Sont promus au grade d’Inspecteur Général de Police, les deux (2) Contrôleurs Généraux de Police dont les noms suivent :
1. Le Contrôleur Général de Police KAMBILE Epse PALE Elie, Directeur de Cabinet Adjoint du Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Chargé de la Sécurité ;
2. Le Contrôleur Général de Police BINATE ABDOURAMANE, Inspecteur Général Adjoint des Services de Sécurité. II. Promotion au grade de Contrôleur Général de Police Sont promus au grade de Contrôleur Général de Police, les six (6) Commissaires Divisionnaires-Majors de Police dont les noms suivent : 1. DIOMANDE GEORGES GUEUTY, Directeur de la Police Economique et Financière (DPEF) ; 2. DJOKOUEHI DJIBRE LEON APAULS VAHNAN, Président de la Commission Nationale de lutte contre la Prolifération et la Circulation Illicite des Armes Légères et de Petit Calibre (Com Nat-ALPC) ;
3. DOSSO SIAKA, Préfet de Police d’Abidjan ;
4. GAOUSSOU KARAMOKO, Directeur du Centre Régional de Formation à la Lutte contre la Drogue (CRFLD) ;
5. TIMITE NAMORY, Directeur Général Adjoint Chargé de la Police Judiciaire (DGA-CPJ) ;
6. TOURE SEYDOU, Conseiller Technique du Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité.
III. Promotion au grade de Commissaire Divisionnaire-Major de Police Sont promus au grade de Commissaire Divisionnaire-Major de Police, les quatre (4) Commissaires Divisionnaires de Police dont les noms suivent :
1. BOUAKY KOUAME ERNEST ;
2. KOUAKOU MOUSSA ;
3. SABONA JOSEPH ;
4. SANZAN KAMBOU.
C/ AU TITRE DES EAUX ET FORETS
Promotion au grade de Colonel-major des Eaux et Forêts Sont promus au grade de Colonel-major, les quatre (4) colonels dont les noms suivent :
1. COULIBALY BREHIMA ;
2. DOGUI ABOA ;
3. GBANZAI MOUHOKE NAPOLEON PAUL ;
4. KOUAKOU KOUAME CESAR.
D/ AU TITRE DE LA DIRECTION GÉNÉRALE DES DOUANES
I. Promotion au grade d’Inspecteur Général des Douanes Est promu au grade d’Inspecteur Général des Douanes :
PIERRE ALPHONSE DA, Directeur Général des Douanes
II. Promotion au grade de Colonel-major Sont promus au grade de Colonel-major, les trois (3) colonels dont les noms suivent :
1- Karim COULIBALY, Inspecteur Général des douanes ;
2- Mme KOUASSI née HACCANDY N’DA Clémentine, Conseiller Spécial du Directeur Général des douanes ; 3- N’Guetta SAY, Conseiller du Directeur Général des douanes.
Plus de cinq millions de francs CFA ont été encaissés par le Comité de gestion des établissements scolaires (COGES) du lycée moderne de Sakassou, au titre de l’année scolaire 2020-2021, et ce, bien avant la décision du président Alassane Ouattara de suspendre le paiement de ces frais annexes de scolarité dans les écoles publiques de la Côte d’Ivoire.
L’information a été donnée, le mercredi 13 janvier 2021, par le trésorier du COGES du lycée moderne de Sakassou, Bakary Sylla, à l’occasion d’une Assemblée générale dudit comité de gestion.
Selon lui, c’est un total de 1561 sur plus de 4000 élèves inscrits au lycée moderne de Sakassou, qui se sont acquittés de ces frais pour un montant global de 5 464 500 FCFA. De cette somme, 4 117 000 FCFA ont servi à payer des salaires et à l’achat de matériel pédagogique, ainsi qu’à la réhabilitation et la réparation des salles de classes, a fait savoir M. Sylla.
Depuis la rentrée des classes en janvier, après le retour des congés de noël, de nombreux parents d’élèves de cet établissement scolaire de Sakassou, lèvent la voix pour exiger le remboursement de leur cotisation.
Le 14 décembre dernier, dans un discours solennel après sa prestation de serment pour un nouveau quinquennat à la tête de la Côte d’Ivoire, le président Alassane Ouattara avait annoncé que le gouvernement et les collectivités locales prendront désormais en charge à partir de janvier 2021, les frais des COGES jusque-là supportés par les parents d’élèves et objet de contestation dans les écoles du pays.