L’effondrement d’un immeuble R+4 habité, survenu dans la nuit dimanche, à Cocody 8e Tranche, dans l’Est d’Abidjan, a fait 34 victimes dont 4 décédées, 13 évacuées dans des hôpitaux et 17 mises en sécurité, selon un bilan provisoire du Groupement des sapeurs-pompiers militaires (GSPM) de Côte d’Ivoire, établit dans la mi-journée ce lundi 7 mars 2022.
L’effondrement de cet immeuble survenu dans la nuit de dimanche à lundi au quartier Cocody Angré 8ème Tranche (non loin de CGK), a fait 34 victimes au total, dont 13 évacuées aux CHU d’Angré et de Cocody ainsi que dans une clinique privée.
Ce drame intervient neuf jours seulement après l’effondrement d’un autre immeuble à Treichville dans le Sud d’Abidjan.
Dans la nuit du 26 au 27 février 2022, un immeuble R+7 en construction à Treichville s’était effondré sur des habitations, faisant 7 morts, 22 blessés et plus de 100 personnes déplacées.
« Une enquête est lancée. La loi s’appliquera dans toute sa rigueur », a déclaré le premier ministre Patrick Achi après une visite sur le lieu du drame.
Au moins quatre personnes sont décédées ce mardi 11 janvier 2022 à la suite d’un malaise collectif dans un appartement à Koumassi, dans le sud d’Abidjan, la capitale économique ivoirienne, rapporte une note du Groupement des sapeurs pompiers militaires (GSPM).
« 16h45 ce jour, alerte pour plusieurs personnes prises de malaise dans un appartement, Koumassi quartier Divo près du centre communautaire », indique le texte des sapeurs pompiers.
A l’arrivée, « 05 victimes (ont été constatées) dont 04 décès certains et 01 dans le coma », ajoute le GSPM, soulignant que les victimes présentaient des vomissures et des selles pour la plupart.
La victime comateuse conditionnée par le médecin de garde a été évacuée au Centre hospitalier universitaire (CHU) de Treichville par l’ambulance de réanimation 11. La police et la gendarmerie ont été déployées sur les lieux, conclut le document du GSPM.
La Fédération Ivoirienne des Professionnels du Cinéma et de l’Audiovisuel (FIPCA) a décliné, le samedi 8 Janvier 2022, son plan d’action et sa feuille de route pour l’année 2022.
C’était à l’occasion de la toute première réunion du bureau exécutif de cette jeune association regroupant les professionnels du 7è Art en Côte d’Ivoire. La rencontre qui s’est tenue, dans un restaurant de la place à Abidjan Cocody- Angré a été le lieu pour le président de la FIPCA, le cinéaste Olivier Koné, de proposer un plan d’action pour sa mandature.
Validé à l’unanimité par les membres de son bureau, ce plan d’action se décline en 8 points, selon le communiqué qui a sanctionné la réunion. Il s’agit entre autres de la présentation de la FIPCA à la tutelle, notamment à la ministre de la culture et des Industries des arts et du spectacle, Arlette Badou N’Guessan Kouamé, l’organisation de la cérémonie d’investiture de la FIPCA, une rencontre avec toutes les associations et institutions œuvrant dans le secteur du cinéma et de l’audiovisuel et l’organisation des États Généraux du cinéma et de l’audiovisuel ivoirien.
Une rencontre avec les décideurs politiques, la signature de conventions visant à rendre accessible la production aux membres de la FIPCA , l’expérimentation d’une nouvelle approche de production par l’association des compétences, et par la coproduction portant sur une série télé, ainsi que l’organisation d’un concours annuel de détection de talents à travers un pitch dénommé #LE_GRAND_PITCH_D_ABIDJAN (un laboratoire d’incubation d’auteurs prometteurs), figurent également en bonne place dans le chronogramme des actions de la FIPCA.
La FIPCA a été portée sur les fonds baptismaux à l’issue de son Assemblée générale (AG) élective du 25 octobre 2021.
Le scénariste et réalisateur Koné Olivier Mèlèhè alias Olivier Koné Cinéaste a été élu à cette occasion en tant que le tout premier président de cette fédération regroupant les professionnels du cinéma et de l’audiovisuel en Côte d’Ivoire.
L’unité d’assemblage de véhicules neufs inaugurée ce lundi 10 janvier 2022 à Abidjan est « une première en Côte d’Ivoire », selon le ministre des transports, Amadou Koné.
« C’est une première en Cote d’Ivoire. Par le passé, notre pays a eu à monter des véhicules, avec l’habillage des pièces importées déjà assemblées. Aujourd’hui, il s’agit d’un assemblage intégral sur place, avec au total 519 éléments différents assemblés. Ce qui nous donne l’autorisation d’inscrire la mention Made in Côte d’Ivoire, avec la licence AJ9 », s’est réjoui le ministre Koné sur sa page officielle facebook. C’est dire que désormais, a-t-il ajouté, « les numéros de châssis des véhicules construits en Côte d’Ivoire commenceront par AJ9 et comporteront le code indicateur ASO1 ».
Pour lui, la Côte d’Ivoire vient donc de faire ses premiers pas dans le secteur de l’industrie automobile, après l’inauguration de l’usine de la SOTRA INDUSTRIES à Koumassi. Une cérémonie à laquelle il a pris part aux côtés du premier ministre, Patrick Achi, du président du Conseil Economique, Environnemental, Social et Culturel, Dr Aka Aoulé et de plusieurs membres du gouvernement ivoirien.
« Nous avons procédé ce lundi 10 janvier 2022, dans les locaux de SOTRA INDUSTRIES à Koumassi, à l’inauguration de la première unité d’assemblage de véhicules neufs estampillés Made in Côte d’Ivoire et baptisés DAILY IVOIRE. Cette chaine d’assemblage a une capacité de production de départ de 1000 véhicules de 18 à 26 places par an », a-t-il fait savoir avant de remercier le gouvernement et le président de la République Alassane Ouattara qui a fait du secteur des transports une des priorités pour le développement et le rayonnement de la Côte d’Ivoire.
Cette chaîne d’assemblage de véhicules a été lancée en août 2018. « Totalement opérationnelle » aujourd’hui, elle fait de la Côte d’Ivoire avec ce véhicule baptisé « Daily Ivoire », un constructeur automobile
L’usine est le fruit d’un contrat de partenariat entre le constructeur IVECO et SOTRA Industrie, filiale de la SOTRA, la société nationale de transport public urbain. Elle est spécialisée dans le montage de véhicules utilitaires de type minibus communément appelé « Gbaka » ou « Massa ».
La production des premiers véhicules « Made in Côte d’Ivoire » est donc effective avec 60 minibus qui ont été entièrement montés sous la forme CKD (montage intégral).
L’unité de montage d’une capacité de départ de production de 1000 minibus par an est dotée de technologies de dernières générations et permettra la création de 500 emplois directs dans les ateliers de la SOTRA, précise-t-on.
Le minibus Daily Ivoire, qui est de 18 ou 26 places, est configurable en véhicule de transport de personne, en ambulance, en camionnette frigorifique, ou utilitaire de transport de matériels et de marchandises diverses.
Au moins deux personnes sont décédées et plusieurs autres ont été évacuées d’urgence à l’hôpital ce mardi 21 décembre 2021, à la suite d’une « intoxication alimentaire » dans un camp de prière à Yopougon, dans la capitale économique ivoirienne, a appris bouake360 de source sécuritaire.
« Ce jour 06h05, alerte pour des personnes prises de malaises, Yopougon route Dabou, km 17 ancien corridor. A l’arrivée il s’agit de plusieurs personnes intoxiquées dans un camp de prière », indique le Groupement des sapeurs pompiers militaires (GSPM) de Côte d’Ivoire, dans un communiqué.
Selon la note des sapeurs pompiers, le bilan de ce drame fait état de 18 victimes dont 2 décès certains et 5 cas graves.
Les victimes ont été évacuées en réanimation au CHU de Treichville et à l’hôpital général de Port-Bouet, ajoute le texte.
Plusieurs professionnelles du sexe ont été interpellées en Côte d’Ivoire dans le cadre d’une vaste campagne de lutte contre les atteintes à la moralité publique, lancée depuis le vendredi 12 novembre 2021 par la brigade mondaine de la police nationale.
L’information a été rendue publique ce mercredi 17 novembre 2021 dans une note d’information de la Direction générale de la police nationale (DGPN).
La hiérarchie policière veut définitivement mettre fin aux atteintes à la moralité publique en Côte d’Ivoire, notamment, les cas d’outrage public à la pudeur. Pour ce faire, indique le document de la DGPN, « depuis le vendredi 12 novembre 2021, une opération de lutte a été organisée par la brigade mondaine à l’initiative de la hiérarchie policière ».
Dans cette dynamique, explique le texte, plusieurs femmes, professionnelles du sexe ont été interpellées et déférées les 16 et 17 novembre 2021 devant le parquet d’Abidjan.
Selon les enquêteurs de la brigade mondaine, ces femmes ont adopté de nouvelles stratégies de racolage, consistant à exposer leur nudité sur un système d’information ouvert au public, à travers des contacts téléphoniques, pour mettre en vente leur corps sans se soucier de tous ceux qui pourraient les visualiser.
Ces femmes dont l’âge varie entre 24 et 34 ans subiront la rigueur de la loi conformément à l’article 416 du code pénal, conclut la note de la police nationale.
Les présumés auteurs du braquage de cent deux millions de francs Cfa perpétré il y a une semaine à Koumassi à l’est d’Abidjan, ont été interpellés ce mercredi 10 novembre 2021, indique un communiqué de la Direction générale de la police nationale (DGPN) de Côte d’Ivoire.
L’argent restitué aux propriétaires par la police
« Suite à un braquage dans la commune de Koumassi, le mercredi 03 novembre 2021, les auteurs ont été interpellés ce mercredi 10 novembre 2021, avec en leur possession la somme de quatre-vingt six millions cinq cent mille francs (86.500.000F) », renseigne la DGPN dans son communiqué.
Après investigations, poursuit le texte, il s’agit de plusieurs complicités internes. Par ailleurs, ladite somme a été restituée aux propriétaires, notamment des operateurs économiques chinois. Quant aux malfrats, ils sont conduits devant le parquet pour répondre de leurs actes, conclut le document de la police nationale.
Portés disparus à la suite de la forte pluie qui s’est abattue vendredi dernier, sur la ville d’Abidjan, dans la capitale économique ivoirienne, les corps des deux enfants du quartier Kimi de Yopougon, ont été retrouvés par les équipes des sapeurs-pompiers, ce dimanche 24 octobre 2021, a annoncé la ministre de la Solidarité et de la lutte contre la pauvreté, Myss Belmonde Dogo.
« Les corps de Marvin Kouassi et Kylian Kouassi ont été retrouvés à Yopougon-Lokoua », indique la ministre dans une note d’information avant de présenter ses condoléances à la famille qui perd ainsi deux êtres chers.
Ces deux enfants de la même famille, respectivement âgés de 14 et 7 ans avaient été emportés par les flots d’une pluie diluvienne, alors qu’ils se rendaient à l’école dans la matinée du vendredi 22 octobre 2021.
Apres la découverte des corps des enfants Kouassi, le bilan des éboulements de terrain et des inondations du vendredi à Abidjan, passe donc de 6 à 8 décès avec 4 personnes blessées et d’importants dégâts matériels.
Au moins quatre personnes ont péri et deux enfants sont portés disparus suite à des éboulements de terrain et des inondations survenus dans la nuit de jeudi 21 au vendredi 22 octobre 2021 à Abidjan, dans la capitale économique ivoirienne, suite à de fortes pluies.
L’information a été donnée par le Commandant du Groupement des sapeurs pompiers militaires (GSPM) de Côte d’Ivoire, le Colonel-Major Sakho Issa.
« Ce matin aux alentours de 7h20 nous avons reçu les premières alertes. Elles concernaient principalement Yopougon dans un premier temps (…) où au carrefour Kimi selon les informations reçues, deux enfants auraient été emportés par les eaux », dont les corps n’ont pas encore retrouvés, a révélé à la presse le Colonel-Major Sakho, dressant le dernier bilan de cette tragique journée à Abidjan.
Malheureusement à Attecobé-Mossikro, la zone la plus critique, « il y a eu une coulée de boue qui a fait s’effondrer des habitations de 3 familles » où 8 victimes ont été dénombrées dont 4 personnes décédées.
« Parmi les 4 décédés, il y avait 3 enfants en très bas-âge et les 4 blessés ont été conduits au centre de santé de Yopougon Toit rouge », a conclu, le commandant du GSPM avant de prodiguer des conseils d’usage aux habitants des zones à risque, surtout en cette période de forte pluviométrie.
Dans un communiqué rendu public, dans la soirée du mercredi 22 septembre 2021, le commandant supérieur de la gendarmerie nationale de Côte d’Ivoire, le Général de Corps d’Armée Alexandre Apalo Touré, est revenu sur les faits de l’affaire dite : « un étudiant éjecté d’un véhicule de la gendarmerie », apportant ainsi des précisions sur le fond de cette histoire abondamment commentée sur les réseaux sociaux.
Communiqué de la gendarmerie nationale
Dans la nuit du 18 au 19 Septembre 2021, aux environs de minuit, le nommé TIA Israël, étudiant de l’Université Félix Houphouët Boigny de Cocody, a été interpellé par une patrouille de la Gendarmerie Nationale, pour port illégal de tenue militaire.
L’étudiant, au cours de sa conduite à la Brigade de Cocody, a sauté du véhicule de la Gendarmerie Nationale mais a été malheureusement percuté par un véhicule civil. Ayant constaté l’accident, les gendarmes ont porté assistance au blessé jusqu’à son évacuation au CHU d’Angré pour sa prise en charge médicale.
Informé de la situation, le Commandant Supérieur de la Gendarmerie Nationale a aussitôt instruit ses services à l’effet d’ouvrir une enquête afin de faire la lumière sur les faits. Il a également dépêché une délégation d’Officiers au chevet du malade pour lui apporter la compassion de la Gendarmerie, ainsi qu’à sa famille et à toute la communauté estudiantine.
La Gendarmerie Nationale s’insurge cependant contre les allégations tendancieuses relatives à cet incident et diffusées sur les réseaux sociaux.
La Gendarmerie Nationale rassure les populations qu’elle ne ménage aucun effort pour assurer leur sécurité en tout temps et en tout lieu.
Fait à Abidjan, le 22 Septembre 2021,
Le Général de Corps d’Armée ALEXANDRE APALO TOURE,