Hadj 2021 : l’âge des pèlerins fixé entre 18 et 60 ans en raison de la Covid-19

Bouaké360-Bouaké (Côte d’Ivoire)

L’âge des pèlerins en partance de la Côte d’Ivoire pour le Hadj 2021 en Arabie Saoudite est fixé entre 18 et 60 ans en raison des normes sanitaires exigées par les autorités saoudiennes relativement à la Covid-19, indique un communiqué du Commissariat général du Hadj, publié le jeudi 1er avril 2021 sur son site internet.

Pour les pèlerins ivoiriens, annonce l’imam Bachir Ouattara, commissaire du Hadj dans ce document, il leur est fait obligation de recevoir chacun un vaccin de Covid-19 reconnu par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) avec la deuxième dose reçue une semaine avant l’entrée dans le royaume de l’Arabie Saoudite.

Pour cette année 2021, il y a également l’exemption du Hadj pour les catégories à risque et la limitation du pèlerinage 2021 pour les personnes de catégories d’âge compris entre 18 et 60 ans.

En outre, au nombre de ces nouvelles mesures, l’on note entre autres, l’obligation du port du masque pour tous les pèlerins et travailleurs pendant la période du Hadj, la coordination obligatoire de la sortie des pèlerins de leurs logements, la distanciation de 1.50m dans les chambres entre les pèlerins, la programmation des déplacements de groupes de 100 personnes avec au moins un guide.

La présentation d’un résultat négatif de test de la Covid-19 qui a été effectué 72 heures avant l’arrivée du pèlerin en Arabie Saoudite, l’isolement de 72 heures du pèlerin à son arrivée sur le sol du royaume de l’Arabie Saoudite et l’application d’un nouveau test de Covid-19 au pèlerin dans une structure agréée par les autorités saoudiennes dans un nouveau délai de 48 heures, figurent également sur la liste des nouvelles conditions.

Cheik Koné

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Extrémisme violent : un comité de veille interreligieux installé à Bouaké

Bouaké360-Abidjan (Côte d’Ivoire)

Un comité interreligieux de veille pour la lutte contre l’extrémisme violent a été installé le mardi 26 janvier 2021, au cours d’une cérémonie solennelle à Bouaké, dans la deuxième ville ivoirienne.

Ce projet qui s’inscrit dans le sous objectif 2 du Programme Transition et Inclusion Politique (PTI) a été organisé par la Plateforme de la société civile pour la paix et la démocratie (PSCPD) en collaboration avec l’Institut National Démocratique (NDI, sigle en anglais).

Le dialogue interreligieux qui a regroupé la quasi-totalité des confessions religieuses au siège régional du Conseil supérieur des imams, des mosquées et des affaires islamiques en Côte d’Ivoire (COSIM), à la grande mosquée de Bouaké, avait entre autres objectifs de promouvoir le dialogue entre les religions d’une part et installer une plateforme locale du dialogue interreligieux dans le but de lutter contre l’extrémisme violent d’autre part.

Présidé par le secrétaire général de la préfecture de région de Bouaké, Katou Bony Francis, cette cérémonie a vu la présence de la 3è adjointe au maire de Bouaké, Mme N’Guessan Jacqueline et de l’imam Seydou Koné, vice-président du COSIM Bouaké.

Cheik Koné